Compte rendu de la conférence/débat organisée par l’association L’ïlot z’enfants le vendredi 27 avril 2018.
Les avis donnés ici ne se substituent pas à l’avis d’un professionnel de santé qualifié.
Bonjour à toutes et à tous.
Je n’ai aucun conflit d’intérêt, c’est-à-dire que je ne travaille pour aucune industrie ou entreprise en lien avec notre thème d’aujourd’hui, et que ma seule préoccupation est l’amélioration de la santé. Notre but ce matin n’est pas de dire s’il faut injecter ou pas tel ou tel vaccin, à une ou deux exceptions près, mais de donner des informations sur ce domaine essentiellement dogmatique et donc tabou. D’aider chacun à sortir de la propagande habituelle, d’exercer son esprit critique, de prendre du recul, de confronter ses idées malheureusement souvent formatées par la pensée unique à d’autres données non politiquement correctes. Tout en sachant que plus les enjeux financiers sont importants dans un domaine, plus la corruption y sera intense.
Il y a environ 40 ans, j’ai eu la chance de rencontrer un ancien des services secrets de l’armée qui me disait : mon cher, si vous voulez comprendre quelque chose au monde dans lequel on vit, lisez « le viol des foules par la propagande politique » de Tchakhotine. Depuis, j’en ai lu bien d’autres, dont « Neuro-esclaves », de Paolo Cioni et Marco Della Luna, ou : « petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens », de Beauvois et Joule, ou encore : « Influence et manipulation », de Robert Cialdini.
Sur la corruption dans le monde de la santé, on lira avec profit : « Le racket des laboratoires pharmaceutiques », de Michèle Rivasi, Serge Rader et Marie-Odile Bertella Geffroy, ou l’ouvrage remarquable de Peter Gosztche : « Remèdes mortels et crime organisé ». Tout est dans le titre.
Ce dernier livre a été traduit par le Pr de médecine Fernand Turcotte, qui a écrit d’autre part : « L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu TOUTES les décisions de santé publique, à TOUS les niveaux ». Ce qui veut dire que les femmes et hommes politiques de la quasi-totalité des pays ne sont plus que des marionnettes aux mains des lobbies, et que ce sont les actionnaires de ces sociétés qui prennent les décisions concernant notre santé, notre bien le plus précieux. Autant confier ses économies à la mafia.
80% des médicaments sont inutiles ou dangereux d’après un auteur comme le Pr Philippe Even. Les industriels qui les fabriquent le savent le plus souvent et les mettent tout de même sur le marché grâce à des études frauduleuses, à des camouflages ou à des falsifications.
Ce sont ces mêmes industriels qui fabriquent des vaccins, et il faudrait leur faire confiance en raison du dogme vaccinal ?
Le sujet des vaccinations est un sujet très polémique, ce qui est le propre de tout domaine scientifique, mais en raison du dogme vaccinal, tout est fait pour ne pas aborder les choses de façon scientifique. Les medias, comme les décideurs politiques, s’appliquent à maintenir le faux débat entre POUR et CONTRE les vaccins, ces derniers étant 100% efficaces et sans aucun risque pour les POUR (c’est-à-dire pour la majorité des médecins), et dangereux et inefficaces pour les CONTRE.
Les choses sont un peu plus complexes, et c’est sur le terrain de la science que nous nous appliquerons à rester ce matin. Evidemment, quand on sort du faux débat et qu’on prend comme références les études valides, l’innocuité et l’efficacité totale des vaccins prennent du plomb dans l’aile.
Si j’ai consacré quelques centaines d’heures à l’étude des vaccins, c’est parce que certains détails m’intriguaient, voire me choquaient, sans parler des études qui montraient que ce n’était pas aussi simple que la vision dogmatique qui m’avait été inculquée pendant ma formation initiale.
Comment, à partir de 3, en sommes-nous arrivés, depuis le 1° janvier 2018, à 11 vaccins obligatoires pour les enfants nés depuis cette date ?
En 2008, le seul vaccin obligatoire, le DTPolio, a disparu grâce à une fraude du laboratoire fabricant. Des associations ont saisi le Conseil d’état en demandant le retour de ce vaccin, qui de plus était sans adjuvant au moment de sa disparition. En 2017, la ministre de la santé Mme Marisol Touraine a reçu une injonction du Conseil d’Etat pour qu’elle oblige un laboratoire, privé ou public, à remettre sur le marché ce vaccin trivalent. La décision ayant déjà été prise de longue date (nous verrons plus loin à quel niveau de décision) d’augmenter le nombre de vaccins obligatoires, et pour donner un vernis démocratique à cette obligation, Marisol Touraine a annoncé une concertation citoyenne pour fin 2017.
La nouvelle ministre de la santé, Mme Agnès Buzyn, a récupéré la patate chaude dès mai 2017 : la concertation citoyenne a eu lieu en octobre 2017. Le Pr Alain Fischer en a été nommé rapporteur. Ce Pr Fischer est en lien avec des laboratoires fabricants de vaccins : il a reçu le prix Sanofi-Pasteur en 2013, ce qu’on appelle pudiquement un «conflit d’intérêt ».
Deux jurys, citoyen et professionnel ont été auditionnés, avec des contributions possibles en ligne.
Aucun de ces jurys ne se prononçait pour l’extension de l’obligation, voire proposait sa suppression pure et simple, craignant un effet contre productif, misant plutôt sur l’aspect éducatif, la couverture vaccinale étant en augmentation constante en France.
Outrepassant sa fonction de rapporteur, le Pr Fischer a proposé l’extension à 11 vaccins obligatoires, soit quasi tous les vaccins recommandés. Donc, concertation citoyenne bidon, comme toutes les concertations citoyennes en France, confer la démission fracassante de Thomas Dietrich, précédent rapporteur d’une concertation citoyenne sur la santé, qui refusait d’écrire le rapport sous la dictée du ministère et de s’asseoir sur l’avis des citoyens.
Son avis sur la pseudo concertation citoyenne sur la vaccination : « une véritable opération de propagande (…) menée pour inciter les Français à se vacciner ».
On pourrait se demander pourquoi Roselyne Bachelot, Marisol Touraine, Agnès Buzyn sont ministres de la santé, alors qu’elles ont travaillé pendant plus d’une décennie chacune pour des industriels du médicament. Justement, pour cette raison là. Et au travers des décisions qu’elles ont prises ou prennent encore, il est évident qu’elles continuent à travailler pour les industriels, et que la santé de la population est le moindre de leurs soucis. L’arrogance de Roseline Bachelot envers les journalistes qui la confrontaient à l’inutilité de l’achat de 93 millions de doses de vaccin antigrippal, lors de la soi-disant pandémie de grippe porcine de 2009, est une indication sur la puissance financière et juridique des lobbies qui pilotaient ses décisions. Mme Bachelot se sentait intouchable, disant s’appuyer sur l’avis des meilleurs experts, tous corrompus évidemment, qui sont encore en place et toujours écoutés.
Quand la puissance publique se met au service d’intérêts privés, c’est la définition même du totalitarisme. Et dans un état totalitaire, il faut s’attendre à ce qu’il y ait des délateurs et des collabos, j’en ai fait déjà l’expérience à propos de vaccins. Résister, certainement, quand la loi est inique, mais en évitant de prendre ce système de front, sous peine de se faire laminer.
Le fait que 90% des medias soient en France entre les mains de 9 millardaires montre leur intention de manipuler l’opinion dans le sens qui sert leurs intérêts. La loi sur le secret des affaires, récemment votée par quelques députés, est aussi un moyen de menacer et poursuivre les lanceurs d’alerte : laissez-nous faire nos petites magouilles sans y mettre votre nez, çà ne vous regarde pas, vous êtes là pour consommer et pour vous taire, et si vous regardez de trop près, vous aller vous faire massacrer.
Quels sont ces 11 vaccins obligatoires ?
Diphtérie, Tétanos, Polio, Coqueluche, Haemophilus B, Hépatite B, le tout dans un vaccin hexavalent : Infanrix hexa® ou Hexyon®. Recommandés à 2, 4 et 11 mois.
Le vaccin contre l’hépatite B n’a aucun intérêt chez la plupart des nourrissons, la maladie s’attrapant par voie sexuelle ou par toxicomanie intraveineuse, en dehors de ceux dont la mère porte le virus.
Pneumocoques : 13 variétés parmi les plus de 90 existantes, dans le vaccin Prévenar 13®, recommandé à 2, 4 et 11 mois, dans la même séance que le précédent.
Rougeole, Rubéole, Oreillons, dans le vaccin Priorix® ou MMR-Vaxpro®, recommandé à 12 mois avec une 2° injection entre 16 et 18 mois.
Méningocoque C, dans le vaccin Méningitec® ou Neisvac® ou Menjugate kit®, recommandé dès 5 mois, avec une 2° injection vers 12 mois.
Au final, les enfants reçoivent à deux mois une injection de vaccin hexavalent dans une cuisse et de Prévenar® dans l’autre, la même chose à 4 mois, une injection de vaccin anti-méningocoque C à 5 mois, une double injection à 11 mois de vaccin hexavalent et de Prévenar®, une double injection à 12 mois par Rougeole/Oreillons/Rubéole et Méningocoque C, et une injection de Rougeole/Oreillons/Rubéole entre 16 et 18 mois. Tous ces vaccins doivent avoir été administrés avant l’âge de 18 mois.
Nous avons vu les raisons nationales de l’imposition de ces 11 vaccins, mais deux autres strates de décision sont plus globales.
Au niveau de l’Europe, l’un des objectifs de la commission européenne, qui a parmi ses membres des personnes fréquentant ou appartenant à des milieux mafieux, est de rendre le plus possible de vaccins obligatoires dans tous les pays de l’Union.
http://fr.euronews.com/2013/10/23/les-mafias-sont-entrees-dans-les-instances-europeennes
Mario Draghi, actuel président de la BCE (banque centrale européenne), présidait la branche européenne de Goldman Sachs entre 2002 et 2005. Pendant que Goldman Sachs falsifiait les comptes de la Grèce pour son entrée dans la zone euro, cette banque spéculait sur l’endettement de la Grèce et facturait des commissions énormes à ce pays. Ceci pour un petit aperçu de pour qui travaille l’Europe : la finance, et contre qui elle travaille : contre les peuples. Voir par exemple cette vidéo d’Etienne Chouard et Myret Zaki sur qui a déclenché la crise grecque et qui en profite.
https://www.youtube.com/watch?v=TLjq25_ayWM
Voir aussi certaines vidéos de François Asselineau, telle celle-ci sur « qui gouverne la France et l’Europe » : https://www.youtube.com/watch?v=bZZf703Ck3o
Au niveau mondial, si le financement de l’OMS était à 80% public (contribution des états membres) dans les années 70, progressivement, surtout depuis les années 90 où la finance a pris le contrôle de l’industrie pharmaceutique, le financement est devenu majoritairement privé. Ainsi, le principal financeur du plan mondial de vaccination (GAVI) est-il Mr Bill Gates par l’intermédiaire de sa fondation.
99% de l’argent de cette fondation est investi dans des entreprises prédatrices, pétrolières, chimiques ou pharmaceutiques qui n’hésitent pas à utiliser des pratiques mafieuses pour arriver à enrichir leurs actionnaires. La fondation Gates détourne les faibles budgets santé de pays pauvres, en Afrique en particulier, pour ses programmes de vaccinations vendus au prix fort et qui enrichissent les actionnaires des laboratoires fabricants. Pendant ce temps, les enfants meurent dans ces pays de malnutrition, ou du manque d’accès à de l’eau potable. Il ne sert à rien de vacciner un enfant qui manque de protéines pour fabriquer des anticorps, ou qui se défendrait mieux contre les infections s’il consommait suffisamment de Vitamines A, C ou D.
Les actionnaires de ces sociétés prédatrices poussent l’OMS à imposer un programme élargi de vaccinations à tous les pays de la planète. Le Portugal et l’Italie ont été choisis comme cobayes pour tester l’obligation. L’Italie a précédé la France de quelques mois avec 12 vaccins obligatoires, mais la France, zélée grâce à ses collabos qui ont infiltré jusqu’aux ministères, lui a emboîté le pas. Ce qui n’a pas empêché la maire de Rome d’autoriser l’entrée en crèche et en école aux enfants qui ne seraient pas vaccinés.
Le discours officiel est de dire que les enfants non vaccinés mettent en danger les enfants vaccinés, ce qui montre leur manque de confiance dans l’efficacité de la vaccination. Nous verrons à propos de la Rougeole que ce sont en réalité les vaccinés qui mettent en danger les non vaccinés.
D’autre part, dès qu’un vaccin est mis au point par un fabricant, il est systématiquement autorisé à la vente (Autorisation de Mise sur le Marché ou AMM), quel que soit son intérêt en santé publique, et qu’il ait montré une action préventive ou pas.
Alors qu’on sait que l’apparition d’anticorps n’est pas un gage d’immunité, les organismes de contrôle se contentent de ce critère dit « intermédiaire » et valident le vaccin sans qu’il ne soit nécessaire pour le fabricant de prouver la capacité du vaccin à éviter la ou les maladies qu’il est censé prévenir.
Ainsi retrouve-t-on recommandé le vaccin Gardasil® au coût exorbitant (135€) bien qu’il n’ait pas prouvé sa capacité à éviter le cancer du col de l’utérus, ou le Prévenar 13® à 54€ alors que les méningites à Pneumocoques avaient augmenté entre 2000 et 2008 avec le Prévenar 7 et qu’elles augmentent régulièrement depuis 2014 malgré le passage à 13 valences en 2009.
Contrairement aux médicaments, dont on vérifie ce que deviennent les principes actifs et les métabolites dans l’organisme, combien de temps cela prend et par quels organes ils sont éliminés, cela n’est pas requis pour les vaccins. Ainsi, les antigènes injectés, les sels d’aluminium, les adjuvants toxiques ou perturbateurs endocriniens ne sont-ils pas évalués quant à leur devenir dans l’organisme, ni quant à leurs effets à moyen ou long terme.
De plus, et bien que l’action sur l’immunité d’un vaccin dure des années, la surveillance pharmacologique est limitée à quelques jours, quelques semaines au mieux, ce qui ne permet pas de repérer certaines maladies auto-immunes qui peuvent apparaître des années après la stimulation immunitaire. Ou alors les effets indésirables apparaissant après le vaccin sont classés comme : « nouveaux antécédants médicaux », comme çà a été le cas pour le Gardasil. Ainsi pour ce vaccin, les nombreux effets indésirables apparus dans les études, bien qu’il ait été comparé à son excipient et non à un placebo, sont-ils passés à la trappe, les analystes ayant considéré que tout ce qui apparaissait après le vaccin n’avait rien à voir avec lui, ce qui est une attitude malhonnête scientifiquement, amorale, inacceptable, mais habituelle en matière de vaccination.
Question : que contient la nouvelle loi, est-ce seulement pour aller en collectivité ou y a-t-il d’autres choses qu’on ne sait pas ? Peut-on éviter d’injecter 11 vaccins à nos enfants ? Le rôle de l’allaitement par rapport aux enfants nourris au biberon.
Réponse : L’allaitement diminue le risque infectieux par rapport aux enfants nourris au lait industriel, mais ne supprime pas totalement les risques. Nous y reviendrons.
Jusqu’au 31 décembre, et pour les enfants nés avant cette date, l’obligation est de recevoir avant l’âge de 18 mois 2 injections de vaccin DTPolio à au moins 2 mois d’intervalle, avec un rappel 7 mois minimum après.
L’article L3116-4, qui prévoyait six mois d’emprisonnement et 3 750 euros d’amende pour refus de vaccinations obligatoires est abrogé par la loi n°2017-1836 du 30 décembre 2017 – art. 49
Depuis le 1° janvier, pour les enfants nés à partir de cette date, l’obligation est de 9 injections de vaccins contre 11 maladies avant l’âge de 18 mois, applicable à partir du 1° juin 2018. En cas de refus des parents, l’enfant ne peut aller en collectivité : école, crèche, garderie, colonie de vacances, centre de loisirs. Les assistantes maternelles (nounous ou maisons d’assistantes maternelles) sont dorénavant assimilées à une collectivité.
«… lorsqu’une ou plusieurs des vaccinations obligatoires font défaut, le mineur est provisoirement admis. Le maintien du mineur dans la collectivité d’enfants est subordonné à la réalisation des vaccinations faisant défaut qui peuvent être effectuées dans les trois mois de l’admission provisoire (et non pas à partir de l’inscription) conformément au calendrier prévu à l’article L.3111-1. Les vaccinations n’ayant pu être réalisées dans ce délai sont poursuivies suivant le calendrier susmentionné… »
Q : pourtant, la loi prévoit aussi que le consentement de la personne doit être recueilli avant toute proposition d’examen ou traitement, qu’elle doit donner son accord et que son consentement peut être retiré à tout moment.
R : effectivement, la loi dite Kouchner permet un dialogue moins déséquilibré avec le professionnel de santé, en mettant la personne concernée au centre de la décision. Ce qui n’empêche pas certains professionnels de se comporter de façon arrogante dès qu’une personne veut discuter avec eux sur un pied d’égalité.
Les nouvelles obligations vaccinales sont en contradiction avec l’article de loi suivant :
Article L1111-4 (extraits)
« Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé…
Le médecin a l’obligation de respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité…
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment ».
Cependant, le ministre de la santé peut prendre dans certaines circonstances épidémiologiques exceptionnelles des décisions qui font peu de cas des désirs individuels. La dictature des lobbies pharmaceutiques est d’autant plus inquiétante qu’elle s’exerce au travers de la puissance de l’appareil d’état en dehors de toute crise sanitaire ou de risque épidémique.
Un parent qui frauderait, solliciterait un faux certificat par exemple, risque dorénavant 2 ans de prison et 30 mille € d’amende ; le médecin qui délivrerait un faux certificat risque 3 ans de prison et 70 mille € d’amende. Les conflits entre parents divorcés ou en cours de séparation se nourrissent volontiers du désaccord entre eux quant aux vaccins à faire pour leurs enfants, avec parfois des conséquences juridiques.
Q : je travaille en crèche et des mamans me rapportent que le médecin a dit qu’il fallait absolument pratiquer la première injection à 2 mois, qu’il le fallait pour entrer en crèche en raison des risques de contagion dans les collectivités.
R : l’ancienne loi disait qu’il fallait avoir reçu les premières injections avant l’âge de 18 mois.
Extrait de la loi : « Un sujet n’est réputé avoir satisfait à l’obligation vaccinale que s’il a reçu la première vaccination et le premier rappel de vaccination réglementaires.
L’admission dans une collectivité d’enfants ne peut être refusée à un enfant qui a reçu la première vaccination mais n’a pas encore atteint la limite du délai prévu pour le premier rappel de vaccination ».
Si les recommandations, dont on verra qu’elles ne reposent sur rien de scientifique, sont de commencer les premières injections à 2 mois, la loi dit qu’il faut avoir commencé les vaccins avant l’entrée en collectivité mais ne parle en rien des 2 et 4 mois de l’enfant.
La croyance de la plupart des médecins en l’innocuité des vaccins et en leur efficacité totale aboutit à des situations cocasses.
En 2012, j’ai reçu en consultation de PMI deux nourrissons de quelques mois, pas encore vaccinés, appartenant chacun à une fratrie de 3. Les deux premiers des deux familles avaient reçu toutes les injections, 3 pour la primovaccination (3 injections étaient recommandées jusqu’au début 2013), avec le rappel à un an, et à 6 ans pour les deux aînés. TOUS les enfants avaient la coqueluche, vaccinés ou pas. Les médecins consultés avaient indiqué dans les carnets de santé : « coqueluche » pour les plus jeunes, non vaccinés, et : « toux coqueluchoïde » pour les vaccinés. Ils ne pouvaient imaginer que le vaccin puisse être inefficace, alors que son efficacité ne dépasse pas 40%. La coqueluche des deux nourrissons d’environ 3 et 4 mois, allaités exclusivement, n’était pas plus sévère que celle des plus âgés vaccinés, alors que cette maladie peut être grave avant un an.
Les médecins font aussi volontiers peur aux parents avec la méningite à Pneumocoques, indication du vaccin Prévenar 13®. Ce vaccin a été mis sur le marché en 2000, pour les nourrissons fragilisés par une pathologie cardiaque ou respiratoire ou prématurés, plus à risque de méningite.
En 2007, ce vaccin a été recommandé, sans aucune raison épidémiologique ni justification, à tous les enfants. La couverture atteint rapidement 78%.
En 2008, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), fait le bilan de l’efficacité de ce vaccin sur les méningites à Pneumocoque, qui peuvent être particulièrement sévères. Avant deux ans, ces méningites avaient légèrement diminué, après 2 ans, elles avaient augmenté, ainsi que tous âges confondus. Ce phénomène était à prévoir : les souches non contenues dans le vaccin ont tendance à prendre la place des souches en partie contrôlées par le vaccin, par un phénomène dit « de remplacement ».
Plutôt que de tout arrêter et de réfléchir à mieux cibler les indications, l’industrie et les agences à sa botte choisissent toujours la course en avant. Ainsi, une partie des souches émergentes a-t-elle été introduite dans le vaccin, portant la valence de 7 à 13 variétés de Pneumocoques. Mais dès 2011, le phénomène de remplacement recommençait à se manifester. Plutôt que de revoir leur copie, les autorités ont décidé … d’arrêter la surveillance !
Q : pourquoi alors les médecins insistent-ils pour vacciner à 2 mois ?
R : pourquoi à 2 mois, alors que les capacités immunitaires d’un nourrisson de cet âge sont très faibles ? Pourquoi ne pas commencer plus tard, les nourrissons étant en grande partie protégés par les anticorps maternels transmis pendant la grossesse, à quoi se rajoute la protection par le lait maternel si l’enfant est allaité ?
L’allaitement ne supprime pas bien sûr tout risque, mais il divise par 2 à 4 les risques infectieux, y compris pour des affections potentiellement graves comme les méningites ou les pyélonéphrites. Mais en France, tout est fait pour ne pas altérer l’image et l’observance des vaccinations, bien qu’aucun n’ait jamais prouvé sa capacité à prévenir une maladie dans des études comparatives contre placebo.
2 mois, c’est l’âge du pic de fréquence de la Mort Inexpliquée des Nourrissons (anciennement appelée Mort Subite). Or les vaccins hexavalents, surtout associés au Prévenar, augmentent ce risque d’après plusieurs études. Les Japonais, qui avaient noté une augmentation de ce risque après l’introduction du vaccin anticoquelucheux, avaient décidé de reporter ce vaccin après l’âge de 2 ans, sans conséquence fâcheuse en terme de maladies à prévention vaccinale, mais avec une diminution de 90% de la fréquence de ces Morts Inexpliquées dès la recommandation appliquée. Les Japonais ont été les seuls à s’alarmer de ces morts de nourrissons faisant suite à l’injection de vaccins, alors que d’autres études relèvent une augmentation de ce risque les jours suivant un vaccin et jusqu’à 3 semaines après.
Le laboratoire Pfizer, fabricant du Prévenar, refusait de fournir les données de pharmacovigilance qu’il avait reçues, ces signalements d’effets indésirables que les médecins ont tant de mal à déclarer dès qu’il s’agit de vaccins (1 à 10% estimés déclarés d’après les études). Après des menaces de sanctions, le laboratoire a fourni les données. Parmi les effets indésirables graves, dont la fréquence est < ou = 1/10.000, la fréquence des effets neurologiques (convulsions, coma, paralysies), qui signent la gravité, était de 9% quand Prévenar était injecté seul ou avec un vaccin trivalent, montait à 15% quand il était injecté avec un vaccin quintavalent, et à 33% injecté avec un vaccin hexavalent, exactement ce qui est recommandé. Il n’est pas possible que les « experts » ignorent ces études. Leur cynisme va-t-il jusqu’à accepter ces inconvénients graves pour éviter des maladies soit disparues depuis des décennies en Europe de l’Ouest (diphtérie, polio) ou extrêmement rares et concernant surtout les personnes de plus de 75 ans (tétanos), ou très rares comme la méningite à Haemophilus B, ou ne concernant pas les nourrissons nés de mère non porteuses du virus de l’hépatite B ?
Une autre étude montre que plus on fait de vaccins en même temps, plus on les commence tôt, plus l’enfant risque d’en mourir, ou de faire une complication sévère, ou d’être hospitalisé.
Sachant de plus que tout vaccin altère l’immunité pendant 2 à 3 semaines, quelle est la justification de commencer à 2 mois avec l’association maximale d’un vaccin hexavalent plus Prévenar 13®, qui est la plus dangereuse dans les études ?
Pour ce qui est de la dangerosité des vaccins multivalents, je citerai l’étude de médecins légistes allemands, qui se sont alarmés de morts inexpliquées de nourrissons dans les heures suivant l’injection du vaccin hexavalent Hexavac®, probablement par encéphalite auto-immune. Après avoir interdit à ces médecins de communiquer auprès du public, les autorités ont retiré ce vaccin du marché. Mais pas sous le prétexte de sa dangerosité et de ce risque mortel. Ils ont dit que la valence anti-hépatite B, dont la plupart des nourrissons n’ont pas besoin, n’était pas assez efficace pour faire apparaître des anticorps.
C’est un mensonge. La capacité à faire monter les anticorps est vérifiée dès les premiers stades de développement d’un vaccin, sûrement pas après commercialisation.
Ce qui est plus inquiétant encore, c’est que ce vaccin est revenu sur le marché sous un autre nom : Hexyon®, et qu’on aimerait savoir si les problèmes de sécurité ont été résolus. C’est peu probable, les associations vaccinales semblant par elles-mêmes d’autant plus délétères qu’elles contiennent plus de valences.
Enfin, je citerai simplement la façon scandaleuse et malhonnête, relevant de pratiques mafieuses, avec laquelle le chercheur Andrew Wakefield a été harcelé et maltraité pour avoir simplement émis un doute sur le lien entre autisme et vaccin MMR (Rougeole, Oreillons, Rubéole aux USA) quand le vaccin était trivalent, par rapport à l’administration séparée du vaccin contre chaque maladie. Son film “Waxxed, from cover-up to catastrophe”, raconte à quel point les parents qui ont vu leur enfant régresser après ce vaccin avaient raison de soupçonner le lien, et comment le Centre de contrôle des maladies étatsunien (Center for Disease Control ou CDC, chargé de la surveillance épidémiologique) a fait disparaître et falsifié les données montrant ce lien. Ce film n’a fait l’objet d’aucune plainte civile ou pénale, ce qui montre à quel point il dit la vérité, fût-elle difficile à croire. Mais même dans les pays dits démocratiques où devrait s’exercer la liberté d’expression, il a plusieurs fois été censuré, ce qui montre aussi les énormes moyens de pression des industriels avec leurs relais parmi les décideurs.
Q : j’ai une question par rapport à la rougeole, à propos de l’épidémie qui a commencé fin 2017, notamment en Bretagne où des consignes ont été données pour vacciner tous les enfants, ou pour une éviction de 3 semaines. La question que je me pose : nous avons un bébé de 5 mois, que j’allaite, j’ai été vaccinée, mais on doit aller en Bretagne, donc je m’inquiète pour mon bébé qui ne peut être vacciné.
R : on ne peut effectivement pas vacciner un nourrisson de moins d’un an, et encore seuls 85% de ceux vaccinés à 12 mois font-ils des anticorps (ce qui ne veut pas dire qu’ils sont immunisés).
De plus, avant le vaccin rougeole, la maladie était rare avant 1 an, car les mères avaient eu la rougeole et transmettaient des anticorps efficaces à l’enfant qui faisait rarement la rougeole avant 3 ou 4 ans, âge auquel elle est le plus souvent bénigne. Etre vacciné pour une mère ne permet pas la même protection, aussi les cas ont-ils augmenté avant 1 an, ainsi que la gravité.
La ministre de la santé Agnès Buzyn répond à ceux qui s’inquiètent des effets indésirables des vaccins : je ne peux pas accepter qu’un seul enfant meure de la rougeole. Jouer de l’émotionnel altère la capacité de jugement et de décision qu’on attend d’un ministre intègre, alors que ce que nous avons besoin de savoir, c’est si ce vaccin a un rapport bénéfices/risques favorable et coût/efficacité acceptable.
Pour que ce rapport bénéfices/risques soit évalué, encore faudrait-il que les médecins déclarent les accidents vaccinaux. L’enfant d’un ancien collègue avait un peu plus d’un an quand il a reçu son premier vaccin contre la rougeole, sous forme d’un triple vaccin (avec Rubéole et Oreillons), puisque les vaccins monovalents n’existent plus. 8 jours après, ce qui est le temps d’incubation du virus de la rougeole, atténué mais vivant dans le vaccin, il a déclaré une paralysie des deux membres inférieurs. La seule hypothèse des spécialistes de l’hôpital universitaire où il a été hospitalisé était une encéphalite d’origine inconnue, probablement auto-immune. Inconnue vraiment, alors que ce virus peut être justement responsable d’encéphalites auto-immunes ? Pourquoi aucun de ces spécialistes n’a-t-il voulu déclarer cet effet indésirable grave ? Pour ne pas altérer le mythe d’innocuité des vaccins ?
On agite souvent les statistiques de la mortalité par rougeole en Afrique, qui sont catastrophiques, pour nous faire accepter inconditionnellement ce vaccin.
Qu’en est-il en France ?
Entre fin 2008 et début 2012, une épidémie de Rougeole a sévi, comme il y en avait tous les 4 ou 5 ans jusqu’aux débuts de la vaccination. 25 mille cas ont été déclarés par les médecins, ce qui laisse supposer qu’il y a eu entre 2 et 3 fois plus de cas, vu la sous-déclaration massive.
Il y a eu 10 morts, et peut-être un de plus depuis. Soit environ un mort par an, ce qui en terme de santé publique est infime.
Si on s’attaquait avec la même énergie et un financement proportionnel à tout ce qui tue plus de 100 ou 1000 personnes par an, on aurait du pain sur la planche. Mais ce qui importe aux décideurs n’est pas d’épargner des vies, c’est d’adapter son discours et ses tactiques de manipulation à ce qui va rapporter le plus d’argent.
Sur ces 10 morts, 7 avaient un déficit immunitaire sévère : ils peuvent mourir de n’importe quelle infection en raison de leur fragilité. Le discours dominant dit qu’il faut vacciner leur entourage pour les protéger, eux ne pouvant être vaccinés avec le vaccin Rougeole qui est vivant et s’attaquerait à leur organisme aux défenses immunitaires altérées. L’immunité qu’on dit « de troupeau » (quelle considération !) permettrait de bloquer la transmission si un certain pourcentage de la population était vacciné. J’ai vu passer en 35 ans ce pourcentage de 70 à 80 puis à 90 et enfin à 95% alors qu’il ne repose sur aucune donnée scientifique mais simplement sur une hypothèse.
Est-on certain de la disparition de la Rougeole si 95% de la population était vaccinée ? Au vu des épidémies de Rougeole aux USA avec des populations vaccinées à 97%, on peut en douter.
Revenons un peu en arrière, avant la mise sur le marché d’un vaccin anti-rougeole.
Les experts de l’OMS, dans les années 70 où cette dernière n’était pas encore sous la coupe des lobbies, mettaient en garde : “si vous mettez au point un vaccin contre la rougeole, il faudra qu’il soit aussi efficace que la maladie quant à l’efficacité de l’immunité acquise, et que, comme pour la maladie naturelle, cette immunité dure quasi toute la vie. Sinon, la maladie risque d’être repoussée aux âges extrêmes de la vie, où elle est beaucoup plus sévère”.
Nous avons vu ce qu’il en était de l’augmentation de la maladie chez les nourrissons de moins d’un an, chez qui la maladie est 4 fois plus grave et mortelle que chez les enfants entre 3 et 8 ans, âges où la maladie est le plus souvent bénigne, ce qui était commun avant le vaccin.
L’immunité vaccinale durant bien moins longtemps que l’immunité naturelle après rougeole, les adultes deviennent vulnérables, alors que la rougeole est 8 fois plus mortelle après 25 ans. Les émissions télévisées qui montrent de jeunes adultes qui disent avoir failli mourir de la rougeole lors de la précédente épidémie sont de la pure manipulation ; s’ils ont eu des complications, c’est bien grâce à l’efficacité insuffisante du vaccin, ou au fait que le vaccin empêche en partie la circulation du virus et qu’ils n’ont pas pu attraper la rougeole à un âge où elle est bénigne.
De plus, 15 à 20% des enfants ne développent pas d’immunité après le premier vaccin, ou du moins n’ont pas d’anticorps. L’injection d’une deuxième dose fait baisser ce nombre, mais il reste au moins 5% des enfants qui ne seront encore pas immunisés, ou ne peuvent l’être en raison de leur état pathologique tel qu’un déficit immunitaire, ou en raison de leurs caractéristiques génétiques.
Des épidémies plus sévères qu’il y a 30 ou 40 ans se développent aux Etats-Unis sur des populations vaccinées à plus de 95%, ce qui montre l’absurdité de la théorie d’immunité de troupeau.
D’autre part, le discours dominant prétend que les non vaccinés font courir des risques aux déficients immunitaires qu’on ne peut vacciner. Mais qui irait visiter son cousin déficient immunitaire en ayant 40°C de température, avec du rhume et de la toux ?
Par contre, le virus peut circuler à bas bruit et être transmis par un vacciné, qui ne se sachant par porteur, ne prendra aucune précaution et contaminera la personne fragile. Ainsi, ce sont bien les vaccinés qui mettent en danger les non vaccinés et non le contraire.
Enfin, des études sur des populations vaccinées à 100% dans certaines îles du Pacifique et n’ayant eu aucun contact extérieur, ont vu après 15 ou 20 ans se développer des épidémies de rougeole, le virus ayant circulé à bas bruit pendant tout ce temps.
La mauvaise efficacité du vaccin et les éléments de preuve épidémiologique cités ici confirment ce que des experts indépendants savent depuis longtemps : contrairement à ce qui est affirmé officiellement et mensongèrement, la Rougeole ne pourra jamais être éradiquée.
Q : donc pour protéger un nourrisson, il suffit de ne pas être en contact avec un malade ?
R : le problème, que nous venons d’analyser, c’est qu’un vacciné peut être porteur et transmetteur du virus de façon inapparente.
Q : j’ai été vaccinée au début des années 80 et on m’a dit que le vaccin de cette époque n’était pas très efficace et qu’il fallait un 2° vaccin.
R : je ne sais pas si l’actuel vaccin est plus efficace, puisqu’une 2° injection reste recommandée, mais effectivement, pour les personnes nées après 80 qui pour beaucoup n’ont pas eu la chance d’attraper la rougeole, une 2° injection est recommandée. Mais vu la faible durée de l’immunité vaccinale, continuera-t-on la course habituelle en avant, en recommandant une 3° et pourquoi pas une 4° injection, malgré les risques élevés de maladies auto-immunes dont le diabète de type 1 ? Ce dernier a plus que doublé entre l’âge de 1 et 4 ans depuis les campagnes de vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Vu l’attirance du virus des oreillons pour le pancréas, ce n’est pas surprenant. Mais quel médecin fait le lien entre le déclenchement d’un diabète quelques semaines ou mois après ce vaccin trivalent ? Et qui va le déclarer, alors que ce lien est prouvé par plusieurs études, dans les pays où elles ont été réalisées ?
Quand les vaccinés auront perdu leur immunité et atteindront 60 ou 80 ans, quel effet aura la rougeole sur eux ?
Peut-être aurait-il été plus efficace, ce qui suppose d’avoir analysé plusieurs stratégies vaccinales, de ne vacciner que les adolescents qui seraient passés à côté de l’immunisation naturelle, avant d’entrer dans l’âge où la rougeole devient plus grave. Mais ce type de stratégie, qui parait logique, n’est jamais choisi par les “experts” élaborant les recommandations. Ils choisissent TOUJOURS la stratégie qui permet de vacciner le plus de monde possible, ou plutôt de vendre le plus de doses possible, mais sûrement pas la stratégie la plus logique ou la plus efficace pour éviter les complications de la maladie ou du vaccin.
Ainsi, pourquoi avoir vacciné toute la population contre la Rubéole ?
C’est une maladie bénigne et souvent inapparente, sauf chez les femmes enceintes non immunisées quand le foetus est contaminé.
Si l’on avait laissé circuler ce virus, et vacciné uniquement les jeunes filles non encore immunisées, on ne se retrouverait pas encore avec des rubéoles congénitales, l’immunité vaccinale s’étant souvent éteinte quand une femme atteint l’âge de la procréation.
Pourquoi n’avoir pas conservé la 2° injection du vaccin Rougeole-Oreillons-Rubéole entre 11 et 13 ans, avant l’entrée dans l’adolescence ? Pourquoi l’avoir proposée entre 4 et 6 ans, puis entre 1 mois et un an après la 1° dose ? Pas en raison d’une meilleure efficacité, puisque l’immunité dure d’autant plus longtemps que les doses sont plus espacées, mais uniquement parce que les nourrissons sont plus observants que les adolescents et qu’on vend plus de doses à des enfants de moins de 2 ans puisque leurs parents décident.
Q : pourquoi ne fait-on pas le test pour savoir si on est immunisé contre la rubéole ou la rougeole ?
R : on peut le faire, et c’est ce qui est recommandé pour les femmes enceintes dès le début de grossesse, associé à la toxoplasmose et à la syphilis lors des anciens certificats de mariage. Le problème, c’est que surtout après immunisation vaccinale, la présence d’anticorps ne signifie pas obligatoirement qu’on est protégé.
C’est le cas pour le tétanos, où la moitié des cas auraient d’après certaines études un taux d’anticorps considéré comme protecteur, mais dans les compte-rendus épidémiologiques français, il est impossible d’accéder à cette donnée.
Une étude à l’hôpital de Dar es Salam en Tanzanie porte sur 10 cas de tétanos néonatal. En effet, en Afrique, le cordon est souvent coupé avec une lame de rasoir rouillée ou ayant servi à d’autres usages. Les médecins ont retracé les vaccins reçus par les mères : elles avaient reçu entre 1 et 10 vaccins antitétaniques et avaient toutes des anticorps à des taux considérés comme protecteur. Normalement ces anticorps franchissent facilement la barrière placentaire, et les enfants auraient dû être immunisés. Les médecins ont cependant dosé les anticorps chez les nouveaux-nés : tous avaient des anticorps à des taux considérés comme protecteurs, et ils avaient malgré tout un tétanos.
L’hygiène autour de l’accouchement : des mains, de la table et du cordon fait non seulement disparaître le tétanos néonatal, mais aussi les infections parfois graves qui peuvent atteindre la mère ou l’enfant. En Chine, sans campagne de vaccination antitétanique vu le peu de moyens financiers, le tétanos néonatal a diminué de 90% en quelques années, simplement en préconisant une meilleure hygiène autour de l’accouchement.
Le tétanos, bien que rare, fait peur, tout comme les méningites chez les enfants. N’oublions pas que la peur et la culpabilité sont les deux plus puissants leviers de manipulation.
Entendu de la bouche d’un médecin à une femme qui ne voulait pas faire vacciner sa fille par le vaccin à papillomavirus : “Madame, si votre fille fait un jour un cancer du col, ce sera de votre faute”! Pour un vaccin qui a autant d’effets indésirables et qui n’a aucunement démontré son efficacité à prévenir ce cancer, voilà qui est pour le moins prétentieux et manipulatoire.
Pour un vaccin comme celui anti-hépatite B à un nourrisson, le rapport bénéfices/risques est forcément défavorable vu son inutilité. Mais pour d’autres dont on n’évalue pas les effets indésirables vu la quasi absence de déclaration, comment décider de son utilité ? Est-ce que je prends plus de risque à administrer ce vaccin à mon enfant qu’à ne pas le faire ?
Certes, l’obligation vaccinale dispense de toute réflexion puisque des experts à la solde des laboratoires pharmaceutiques ont décidé pour nous, citoyens ou professionnels, qui ne sommes pas dignes ni assez compétents pour décider de ce qu’on injecte dans notre corps ou celui de nos enfants.
On me demande parfois quels vaccins j’ai fait à mes enfants. D’une part je ne décide pas seul, ils ont une mère, et d’autre part, chacun doit décider (tant qu’on nous laisse une petite plage de manœuvre) en fonction de ce qu’il sent et/ou sait. Personne ne peut et ne doit décider à votre place.
Q : en tout cas, depuis le 1° janvier, les députés ont décidé pour nous et on a l’obligation légale d’injecter un vaccin à 11 valences aux nouveaux-nés.
R : depuis le 1° janvier 2018, on a l’obligation d’injecter 11 microbes différents dont certains vaccins à 6 microbes, dits hexavalents, d’autres à un seul microbe mais à plusieurs sérotypes, en 9 injections avant l’âge de 18 mois. Les députés ne sont pas compétents, et seule une minorité d’environ 10% a voté la loi (camouflée dans la loi de financement de la sécurité sociale, un autre scandale). Ces députés sont assaillis au quotidien par des lobbyistes de l’industrie qui leur mettent la pression, sans contre pouvoir ni avis de citoyens ou de professionnels indépendants. On a vu ce qu’ils ont fait de la concertation citoyenne d’octobre 2017.
Q : si l’on considère que cette loi est inique, comment la contourner ?
R : beaucoup de politologues, d’économistes, de sociologues ou philosophes invitent à la désobéissance, à la prise de conscience du système de pensée unique dans lequel on nous a enfermés. Quand la conscience s’éveille, que l’on décide d’entrer en résistance, les moyens ne manquent pas. L’essentiel est de rester en réseau, d’échanger avec d’autres, de confronter ses idées car tout est fait pour morceler, dissoudre les volontés, contrôler par la peur, désorganiser les réseaux de solidarité.
Q : en tant que directrice ou responsable de crèche, que faire avec des parents qui ne semblent pas en règle ?
R : les parents prennent leurs responsabilités ; ce n’est pas à vous de devenir complice d’un éventuel non respect de la loi. Avez-vous les compétences pour vérifier les vaccins dorénavant obligatoires ? Peut-être aurez-vous des formations pour savoir ce qu’il faut vérifier ? A partir du 1° juin, les parents ont à partir de l’entrée en crèche 3 mois pour se mettre en règle, au moins avoir commencé les vaccins, puis suivre le calendrier recommandé.
Q : on dit que les responsables de crèche ont l’obligation de demander le carnet de santé, de demander à ce que l’enfant soit vacciné, mais que dès que l’enfant a été accepté, on ne peut le refuser parce qu’il y a un défaut de vaccin. S’adressant à une directrice de crèche : vous n’êtes pas policiers, vous devez juste réclamer, plusieurs fois si nécessaire, aux parents, mais vous ne pouvez virer l’enfant.
R : avec la nouvelle loi, il parait difficile de maintenir en collectivité un enfant non à jour des obligations vaccinales. Attendons les décrets d’application qui seront plus précis que la loi dont le texte est souvent très général. Mais ne comptez pas sur ces décrets pour vous dire comment contourner la loi ! Je peux porter un regard critique sur les vaccins, ce qui est la principale caractéristique de la science faite de polémique, de remises en cause… mais je ne peux vous dire de faire ou ne pas faire tel ou tel vaccin, pas plus que je ne peux vous dire comment contourner la loi.
Q : il y a aussi le problème des adjuvants, et des filles vaccinées par le Gardasil®.
R : les réactions auto-immunes post vaccinales sont dues aux composants antigéniques du vaccin, la partie du vaccin composée de particules ou fragments de microbes destinés à faire apparaître des anticorps contre ce microbe, mais aussi aux additifs et adjuvants, dont l’aluminium.
Parmi ces résidus ou adjuvants, on peut trouver : de l’oeuf (vaccin fièvre jaune, contre-indiqué si allergies à l’oeuf), des antibiotiques : néomycine ou polymyxine (potentiellement allergisants), du formaldéhyde (cancérigène), des sels d’aluminium (toxiques sur le système nerveux), du borax (irritant, allergisant), de la gélatine (allergisante), du latex (allergisant), du phénoxyéthanol (perturbateur endocrinien), du polysorbate 80 (proinflammatoire, procancéreux)…
Que viennent faire les nanoparticules métalliques trouvées dans tous les vaccins testés par une équipe de chercheurs italiens, en dehors d’un vaccin vétérinaire ? Sont-elles là intentionnellement ou en raison des process de fabrication ? Les nanoparticules ont des propriétés souvent beaucoup plus “explosives”, catalytiques en particulier, que les métaux dont elles proviennent. De plus, elles franchissent beaucoup plus facilement la barrière entre la circulation et le système nerveux, contaminant le cerveau de l’enfant.
Nous avons vu l’attirance de certains composants d’un vaccin, avec l’exemple des oreillons, pour un organe en particulier tel que le pancréas, responsable de la maladie auto-immune qu’est le diabète de type 1. Les antigènes constitutifs du principe actif du vaccin peuvent avoir aussi des analogies de structure avec certains composants de l’organisme. Ainsi, pour les vaccins à papillomavirus, a-t-on décrit des ménopauses précoces, chez des jeunes filles de 12 ou 15 ans, en raison de la destruction de leurs ovaires par des dépôts de ce qu’on appelle des complexes immuns. Ces femmes n’auront jamais d’enfants, ni de cycles hormonaux ; leur libido sera très perturbée. Les Scléroses en plaques survenant 1 à 2 ans après une vaccination contre l’hépatite B, c’est à dire bien au-delà des délais de surveillance post-vaccinale, sont un autre exemple de maladie auto-immune aux conséquences dramatiques. Mais officiellement en France, grâce à quelques bidouillages statistiques, ou en éliminant les études de haute valeur scientifique trop significatives au goût des rapporteurs, il n’y a pas de lien entre la sclérose en plaques et le vaccin contre l’hépatite B. Les statistiques de la caisse d’assurance maladie sur les maladies neurologiques, montrent pourtant une augmentation de ces maladies, dont la sclérose en plaques, dans les deux ans qui ont suivi les campagnes de vaccination massives contre l’hépatite B du début des années 90. Et ce n’est pas grâce à un meilleurs diagnostic, puisque les critères de diagnostic de cette maladie ont été durcis.
Lors des études, les vaccins ne sont jamais testés contre un placebo, sans action pharmacologique, mais contre un autre vaccin ou contre l’excipient du vaccin testé. Cet excipient contenant tous les adjuvants indésirables, cela permet d’atténuer la différence. Ainsi lors des études sur le vaccin Gardasil®, les réactions générales (fièvre, fatigue) concernaient 13% du groupe vaccin et 11% du groupe excipient, différence non significative. Si on avait testé ce vaccin contre de l’eau salée, qu’on sait recycler sans aucune réaction, on aurait eu au pire 2 ou 3% de personnes fébriles pour une autre raison et la différence serait devenue hautement significative. Il y a eu aussi 5 malformations congénitales dans le groupe vaccin, et aucune dans le groupe excipient, malgré la présence de substances toxiques. Mais les analystes n’en ont relié aucune au vaccin, sans aucune explication valable bien entendu. Pour ce même vaccin, les morts suspectes ont été amalgamées aux morts accidentelles ou aux suicides, permettant de minimiser et faire disparaître ces inconvénients majeurs. Magouilles, bidouillages, dissimulations : voilà ce que devient la science aux mains des investisseurs criminels ; à 135€ la boite de vaccin, tout était permis pour le mettre sur le marché, quel que soit le prix à payer pour les victimes.
Q : n’est-il pas possible de faire établir un certificat de contre-indication à un vaccin ? Par exemple dans le cas où il y a beaucoup de maladies auto-immunes dans la famille ?
R : il existe peu de contre-indications à une vaccination, et il est difficile d’argumenter ou justifier un certificat de contre-indication. On pourrait théoriquement dire qu’on ne peut injecter par exemple un vaccin contenant du formaldéhyde, puisque celui-ci est reconnu comme cancérigène, ou contenant un émulsifiant puisque ceux-ci sont pro-inflammatoires.
En pratique, il faut une réaction de type allergique grave (asthme, urticaire géant, oedème de Quincke) lors d’un vaccin précédent pour justifier d’une contre-indication, ou une réaction neurologique, ou une allergie connue à l’un des constituants du vaccin, ou une situation particulière telle que la grossesse pour les vaccins à virus atténués, une maladie infectieuse en cours ou en convalescence. Mais même en cas de cris persistants, de prostration, de troubles du comportement qui signent une atteinte inflammatoire cérébrale, la plupart des médecins continuent les injections suivantes en minimisant les conséquences, puisque dans leur tête çà ne peut pas être lié au vaccin. Ont-ils seulement lu les notices ?
Selon le groupe HLA (système majeur d’histocompatibilité), une personne fera une réaction à tel vaccin, ou ne s’immunisera pas, mais ces tests ne sont pas de pratique courante. L’agrégé de biologie Michel Georget parle en détail dans ses livres des particularités génétiques de l’immunité.
Le fait que dans une famille il y ait plusieurs cas de maladies auto-immunes augmente probablement le risque pour un nourrisson de ces mêmes pathologies après vaccination, mais ce type d’antécédent n’est pas indiqué officiellement comme contre-indication, alors que cela paraîtrait logique.
Q : les enfants vaccinés meurent-ils moins ou sont-ils en meilleure santé que les autres ?
R : il est difficile de comparer les enfants vaccinés aux non vaccinés quand l’objectif est de vacciner 100% des enfants, et quand ne pas vacciner devient un délit.
Cependant, certaines études apportent des éléments de réponse.
Un classement des pays industrialisés en fonction du nombre de vaccins recommandés montre une corrélation avec la mortalité infantile, d’autant plus élevée que les enfants reçoivent plus de vaccins.
Une étude à partir des déclarations d’accidents vaccinaux aux USA montre que plus on injecte de vaccins en même temps, plus on les commence tôt, et plus l’enfant risque de mourir, d’avoir des complications neurologiques, d’être hospitalisé.
L’étude Kiggs, réalisée par l’institut Robert Koch à la demande du ministère de la santé en Allemagne, portait sur plus de 1500 paramètres par enfant, dont les vaccins. Mais dans la publication des résultats, rien ne parût sur les vaccins. Des chercheurs indépendants ont eu accès aux données brutes. Ils ont pu montrer en 2009 que pour de nombreuses pathologies telles que l’asthme, les allergies, les maladies infectieuses ou les troubles du développement, les enfants vaccinés sont plus souvent atteints que les enfants non vaccinés. L’institut Kock a violemment attaqué ces résultats et s’est engagé à les contredire dans un article scientifique à publier en 2010. En mai 2018, on l’attend toujours.
Enfin, il est notable que plus le niveau d’études des mères est élevé, moins elles vaccinent leurs enfants. La propagande dit le contraire : si les personnes s’opposent aux vaccins, c’est par manque d’information et de connaissance.
Et qui détient les outils de propagande ?
Q ; un vaccin assure-t-il une protection uniquement contre les souches contenues dans ce vaccin ?
R : en général, malgré l’espoir d’immunité croisée lors de la mise sur le marché de chaque vaccin à plusieurs sérotypes, c’est la déception. Le Gardasil n’a aucune action sur les souches non contenues dans le vaccin et peut même les favoriser en raison du phénomène de remplacement que nous avons évoqué.
Le premier Prévenar contenait 7 sérotypes différents de Pneumocoques et ne couvrait pas les autres dizaines de variétés qui ont pu ainsi prendre la place de ceux que le vaccin contrôlait. Certaines de ces souches émergentes, telle la 19A non contenue dans le Prévenar à 7 valences, très virulente et résistante aux antibiotiques, a été plus souvent responsables de méningites, plus fréquemment mortelles qu’avant la vaccination.
Cela n’empêche pas des médecins de manipuler leurs patients quand un enfant n’a pas reçu ce vaccin en même temps que l’hexavalent. Rien n’oblige à injecter ces deux vaccins dangereux dans la même séance.
Un enfant que j’avais vacciné par un hexavalent a été hospitalisé 8 jours après pour une bronchiolite. Les prélèvements ont retrouvé du Virus Respiratoire Syncitial, souvent responsable de bronchiolites, mais le pédiatre hospitalier voulait à tout prix isoler un Pneumocoque, pour montrer qu’il était inconscient de ne pas avoir fait en même temps le Prévenar. Il n’en a heureusement pas trouvé. Quelques jours après, j’ai vu un nourrisson vacciné par les deux vaccins dans la même séance et qui 3 jours après avait été hospitalisé pour une bronchiolite sévère. Quand un enfant est malade après un vaccin, çà n’est jamais la faute du vaccin, mais quand on n’a pas fait un vaccin à l’âge recommandé, çà devient la cause de la maladie.
Molière en aurait fait ses choux gras.
Dire qu’un enfant fait un bronchiolite parce qu’on n’a pas fait les deux vaccins en même temps est de la manipulation, de l’incompétence, et montre l’absurdité du raisonnement, la crispation de beaucoup de médecins quand il s’agit de vaccins. Car ce médecin ne s’est pas privé de critiquer le médecin inconscient qui n’avait pas fait les deux vaccins recommandés dans la même séance. Ce que ce médecin ignore, c’est que tout vaccin altère l’immunité pendant trois semaines en moyenne, et qu’un enfant est plus susceptible de faire n’importe quelle infection pendant cette période, y compris par un germe contre lequel on cherche à l’immuniser.
Quant aux études montrant l’augmentation du risque de mort, d’hospitalisation ou de troubles neurologiques sévères en fonction du nombre de vaccins administrés simultanément, il n’y a aucune chance pour que ce médecin en ait entendu parler. Top secret : au pays de Pasteur l’imposteur et usurpateur (voir par exemple “En finir avec Pasteur, un siècle de mystifications scientifiques, du Dr Eric Ancelet), tout ce qui pourrait mettre la vaccinologie sous les feux critiques de la science est prohibé.
Pendant les épidémies de variole, les sujets contacts qu’on vaccinait, pensant ainsi les protéger, (sans aucune preuve d’efficacité ; ce n’était qu’une hypothèse), faisaient des formes plus sévères qu’en l’absence de vaccination, avec une mortalité de 30 à 40% au lieu de 10% habituellement. Le rapport final de l’OMS sur la Variole est très instructif sur ce point.
Q : les vaccinations ont-elles eu une influence sur la baisse des maladies infectieuses, ou d’autres facteurs ont-ils joué ?
R : Sur les sites des antivaccins, on montre des courbes descendantes, avec les périodes d’apparition puis d’obligation de certains vaccins, sans que la pente de ces courbes n’ait été modifiée par la vaccination.
Sur les sites pro-vaccins, les courbes sont souvent tronquées : la courbe débute au moment de la vaccination, et comme elle est descendante, on attribue la décroissance de la maladie ou de la mortalité à ce vaccin. S’il y a eu une remontée aux débuts de la recommandation ou de l’obligation du vaccin, on la gomme volontiers pour faire démarrer la courbe après le pic.
Dès le milieu du XIX° siècle, avant même qu’on ne sache ce qu’était une bactérie ou un virus, l’amélioration de l’hygiène : accès à l’eau potable, plus d’ouvertures dans les maisons, installation d’égouts, hygiène dans la manipulation et la conservation des aliments, isolement des malades … avait amorcé la décroissance des maladies infectieuses, avec souvent une accélération entre les deux guerres ou après la 2° guerre mondiale.
Il n’y a jamais eu de vaccin contre la peste, la lèpre, le typhus, la suette, la scarlatine ou le paludisme, et ces maladies ont disparu de nos contrées. Peu de personnes étaient vaccinées contre le choléra ou la typhoïde, et il n’y a plus que de rares cas importés en France.
Aussi est-il difficile de faire la part, dans la diminution des maladies, de l’amélioration de l’hygiène, de l’alimentation, de l’accès à l’eau potable ou des vaccinations.
Par exemple, en 1945, l’incidence de la tuberculose était à peu près la même en France et en Hollande. 30 ans après, il y avait 7 fois moins de tuberculose en Hollande qu’en France. La France avait tout misé sur le BCG, vaccin français. La Hollande avait misé sur le repérage, l’isolement et le traitement des malades, limitant ainsi la contagion. Certains auteurs reprochaient à la France de faire trop confiance à un vaccin qui n’avait pas montré grande efficacité.
Tous les livres d’histoire ou de biologie attribuent la disparition de la Variole à la vaccination. Mais si on lit le rapport final d’éradication de la Variole de l’OMS, c’est tout autre chose.
Après près de 150 ans de variolisation, la maladie sévissait toujours, et certains pays tels le Sri Lanka, l’Indonésie ou l’Inde n’arrivaient pas à éradiquer la maladie. L’OMS arrête tout, réfléchit et s’intéresse enfin à l’épidémiologie de la Variole : temps d’incubation, période de contagion, signes précurseurs…La stratégie mise en place consiste alors à repérer les malades (fièvre très élevée, prostration), à les isoler, à isoler les sujets contacts et au lieu de les vacciner et ainsi les affaiblir, on se contente d’une simple surveillance. Si après le temps d’incubation théorique ils ne sont pas malades, ils reprennent leur vie sociale. S’ils déclarent des signes de maladie, ils sont isolés à leur tour jusqu’à disparition de la contagiosité. Ce fût la stratégie de Repérage/Isolement/Surveillance.
En 5 mois , la maladie a été éradiquée de la planète. 5 mois, après plus d’un siècle de vaccination vouée à l’échec dans de nombreux pays.
Dans son rapport final, le rapporteur de l’OMS insistait sur la nécessité de se souvenir de ce qui a éradiqué la Variole, car les stratégies non médicamenteuses ou non vaccinales sont bien plus accessibles aux pays pauvres et souvent bien plus efficaces. Mais elles ne rapportent rien à Big-pharma.
Q : si on voyage, quels sont les vaccins recommandés ?
R : la fièvre jaune, à réaliser une seule fois dans sa vie au lieu de tous les 10 ans auparavant, est le seul vaccin international obligatoire pour l’Afrique noire et l’Amérique du Sud.
Le principal risque en voyageant est le risque accidentel routier. Ensuite, le risque lié à l’eau non potable : turista et autres toxi-infections intestinales. Aussi conseille-t-on de ne boire que de l’eau en bouteille capsulée, de ne pas manger de fruits de mer, de crudités en dehors des restaurants de classe internationale.
On conseille le vaccin hépatite A, selon les conditions d’hygiène.
Selon la région, le vaccin contre l’encéphalite japonaise.
Le vaccin hépatite B si on pratique le tourisme sexuel. Pour le SIDA, le vaccin n’est pas pour demain, pas plus que pour la Dengue après l’arrêt des campagnes de vaccination aux Philippines après la mort de 14 enfants, dont 3 au moins seraient directement liées à la vaccination.
Il n’est pas possible de tout développer ici, mais on peut se référer aux conseils aux voyageurs édités par le ministère de la santé, actualisés chaque année, ou sur les sites de certains instituts de médecine tropicale
Q : des homéopathes, quand ils vaccinent, prescrivent le nosode du vaccin (un médicament homépathique dilué préparé à partir du vaccin) à donner après la vaccination, mais en France, ces nosodes ne sont pas autorisés. Cela limiterait les effets secondaires liés au vaccin.
R : on peut préparer en théorie un médicament en dilution homéopathique en diluant la solution de base, mais s’il y a des centaines ou milliers de dilutions, les laboratoires sont je suppose équipés pour réaliser ces remèdes de façon automatisée, hygiénique et plus rapide.
Je ne pense pas que ces remèdes empêchent l’action chimique et toxique d’un adjuvant. Peut-être renforcent-ils les défenses immunitaires ou ce qu’on appelle le terrain, mais je ne connais pas d’études qui le prouvent.
Si de l’aluminium contenu dans le vaccin gagne le cerveau, l’aluminium n’ayant aucun rôle biologique et sa toxicité étant prouvé sur le système nerveux, il pourra contribuer à l’installation d’une démence. C’est un scandale de trouver un métal aussi toxique dans un produit injecté dans l’organisme d’un nourrisson de quelques semaines. Jusqu’en 2008, année de son retrait, le vaccin DTPolio était sans adjuvant, et le précédent était adjuvanté au phosphate de calcium. Ce sel de calcium est parfaitement métabolisé et recyclé par notre organisme.
Q : On en trouve dans l’eau aussi, par exemple dans la ville de Lyon.
R : Oui, des sels d’aluminium dits d’alun, sont utilisés pour chélater la matière organique dans les processus de potabilisation de l’eau, et il reste toujours de l’aluminium dilué dans l’eau. Il y a des alternatives, mais dans les villes où ces sels d’aluminium sont utilisés, il vaut mieux filtrer l’eau. A la maison, éviter au maximum les contacts de la nourriture avec des emballages en alu, et remplacer les vieilles casseroles en alu par de l’acier, de la fonte, du verre, de l’inox ou de la céramique.
L’alimentation peut aussi apporter de l’aluminium, par les barquettes, films d’emballages et les nombreux additifs ou colorants à base d’aluminium. Ne faites jamais cuire du poisson dans des papillottes en alu. Vous aurez le mercure du poisson si c’est un prédateur tel que le thon ou l’espadon, en plus de l’alu de la papillote, soit deux neurotoxiques.
Q : certains vaccins contiennent du mercure…
R : lors de la soi-disant pandémie de grippe porcine de 2009, le vaccin recommandé pour les femmes enceintes et les enfants, Pamdemrix®, contenait du Thiomersal, un sel de mercure. Il contient aussi de l’adjuvant AS03, à base de Squalène et de Polysorbate 80, probable responsable du syndrome de la guerre du golfe chez les vétérans.
Le Dtvax® de l’Institut Pasteur contenait du mercure jusqu’en 2015. Ces sels, repérables sous le terme de Thiomérosal ou Thiomersal, sont extrêmement neurotoxiques et altèrent le développement intellectuel des enfants exposés.
Des parents témoignent de leurs décisions quant aux vaccins qu’ils ont laissé administrer à leurs enfants, la recommandation puis obligation de la vaccination anti-hépatite B étant celle qui suscite le plus d’incompréhension.
Le brevet exclusif s’étendant à tous les vaccins contenant cette valence, et étant responsable d’une augmentation injustifiée du prix de ces vaccins, on comprend que la loi du bénéfice maximum (pour les actionnaires) s’applique. Ce qui veut dire coût maximum pour les caisses d’assurance maladie.
Merci de votre attention et de vos questions
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